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FAQ : questions-réponses

 

 

Questions pratiques sur le déménagement

Q : Que va-t-il advenir des différentes bibliothèques du campus ?

10 Bibliothèques fusionnent et regroupent leur personnel, leurs services et leurs collections au Rolex Learning Center. Il s’agit des bibliothèques de matériaux (BiMX), de chimie et sciences criminelles (BISCOM), d’architecture (DA), de mathématiques (DMA), de physique (ex-UNIL et EPFL), d’informatique et communication (IC), du CRAFT, du Collège du Management (CDM) et de la Bibliothèque Centrale (BC).

Q : Pendant le déménagement pourra-t-on accéder aux livres ? Les emprunter ? où pourra-t-on les rendre ?

Durant tout le déménagement de janvier à février 2010, tous les documents resteront empruntables. Du fait des déplacements de collections entre les bibliothèque d’origine et le RLC, un délai de livraison sera toutefois nécessaire. Le guichet de la Bibliothèque Centrale (BC) restera ouvert pendant toute la période du déménagement, pour assurer un service continu aux lecteurs. Le retour des documents se fera à la bibliothèque à laquelle appartient le livre, tant que celle-ci n’est pas fermée. Si elle est fermée, les retours se feront à la BC.

Q : Si les bibliothèques ferment et que le RLC n’est pas encore ouvert, comment pourra-t-on emprunter des livres ?

Le prêt des livres est assuré pendant le déménagement, seul le délai de livraison des livres ayant déjà déménagés sera un peu plus long. Nos équipes sont mobilisées pour qu'un livre commandé avant 16h soit disponible au guichet de la Bibliothèque Centrale dès 10h le lendemain matin. (pour plus de détails)

Q : Où pourra-t-on trouver des places de travail ?


Les bibliothèques resteront ouvertes jusqu’à la fin de la session d'examens de janvier 2010.

 

 

Questions pratiques sur la Bibliothèque de l'EPFL au Rolex Learning Center

Q : Quels seront les horaires d’ouverture au public ?

La Bibliothèque de l'EPFL sera ouverte de 7h30 à 24h, 7 jours sur 7.
Un service au public professionnel sera offert de 8h à 20h, du lundi au vendredi.

Q : Tout le monde peut-il venir consulter un livre ou faut-il une carte d’étudiant ou de collaborateur de l’EPFL pour entrer ?

La Bibliothèque est publique, c’est à dire ouverte à tout le monde, y compris au grand public. Pendant les heures d’ouverture, chacun peut consulter les documents comme il le souhaite. L’emprunt nécessite cependant une inscription préalable, gratuite, ouverte à toute personne résidant en Suisse.

Q : la Bibliothèque de l'EPFL sera-t-elle ouverte aux étudiants de l’UNIL et des autres universités suisses ou étrangères ?

La bibliothèque de l'EPFL est une bibliothèque publique. L’accès est libre pour tous. Toute personne vivant en Suisse peut s'y inscrire gratuitement. Les étudiants d’échange qui restent assez peu de temps peuvent également s’inscrire sous certaines conditions.

Q : Quelles prestations nouvelles allez-vous apporter dans le Rolex Learning Center ?

Tout d’abord des horaires d’ouverture et de service étendus, davantage de places de travail individuel ou en groupe. A cela s’ajoutent des accès facilités aux documents grâce au prêt automatique, aux magasins ouverts au public, aux scanners et copieurs numériques. L’activité culturelle et scientifique se développe grâce aux possibilités d’animations et d’expositions. Enfin, le confort du lieu et les services associés (vie étudiante, librairie, cafétéria, centre de carrière, etc.) rendent une visite au RLC très agréable et productive !

Q : Comment allez-vous gérer le bruit dans les différents espaces de la bibliothèque du Rolex Learning Center ?


La configuration très spécifique du Rolex Learning Center en vallons, en collines et en vagues forme un paysage en soi, avec plusieurs espaces "naturels" qui définissent des zones de calme et d’interaction. Dans la bibliothèque nous pensons que ces zones aux atmosphères sonores variées vont permettre à chacun de trouver sa place. Une signalétique adéquate, discrète et incitative permettra de guider les lecteurs vers les zones de silence ou de calme.

Nous avons expérimenté cette régulation en douceur du bruit depuis plusieurs années à la bibliothèque centrale de l’EPFL, avant le RLC, et nos lecteurs en connaissent bien le principe et semblent l'apprécier.

Q : Qu’est-ce que les puces RFID ? Quel en est l’intérêt pour les usagers ? Comment fonctionnent-elles concrètement ?


Les puces RFID permettent l’identification d’objets par radio fréquence (Radio Frequency IDentification). On en trouve désormais sur de très nombreux objets de la vie courante. A la bibliothèque, ces « puces » sont en fait intégrées à des étiquettes adhésives collées dans les livres. Elles permettent de garantir la sécurité antivol et de réaliser les opérations de prêt automatisé, par les lecteurs eux-mêmes. Elles nous aideront à terme à gérer les inventaires et le classement des documents sur les rayons.

Pour les lecteurs, le principal avantage est le prêt automatisé de plusieurs livres en même temps. Cette fonctionnalité permet de diminuer le temps d'attente à la borne de prêt durant les moments de forte fréquentation.

Q : Y aura-t-il un espace multimédia (film…) ?

L’audiovisuel et le multimédia prennent de plus en plus d’importance dans la recherche et la production scientifique. L’accès wifi et câblé à Internet permettra à chacun de lire des vidéos en ligne sur son ordinateur au RLC. De plus, le public pourra emprunter des dvd et la bibliothèque proposera des ordinateurs munis de lecteurs dvd ainsi que des casques audio. Le forum Rolex proposera des projections de films et de multimédia.
 

 

Quelques chiffres clés de la Bibliothèque de l'EPFL

  • 10'000 utilisateurs déjà inscrits à la bibliothèque
  • 500'000 passages prévus par an
  • 60'000 prêts de documents prévus par an
  • 2'000'000 consultations du site web http://library.epfl.ch/ en 2008
     
  • 860 places de travail
     
  • 6022 heures d'ouverture par an (de 7h30 à 24h, 7 jours sur 7)
  • 3120 heures de services au public par an  (de 8h à 20h, du lundi au vendredi)
     
  • 500'000 documents papiers en accès libre
  • 11'000 titres de journaux électroniques
  • 15'000 livres électroniques
     
  • 42 collaborateurs, professionnels des bibliothèques et de la documentation (équivaut à environ 30 temps plein)

 

Questions "philosophiques" sur la Bibliothèque de l'EPFL au Rolex Learning Center

Q : Quel est l’intérêt de rassembler presque toutes les bibliothèques dans un seul lieu ?

Rassembler toutes les bibliothèques permet d'unir nos forces et d’offrir davantage de services. Concrètement, un lecteur peut venir au Rolex Learning Center et utiliser la bibliothèque entre 7h30 du matin et minuit s'il le souhaite. Il trouvera en libre accès les documents en consultation et en prêt, les prestations dont il a besoin (copies, impressions, numérisations, accès à Internet et aux ressources documentaires électroniques), ainsi que de 8h à 20h, l’aide de personnel professionnel. Personnel qui pourra l'orienter, mais également le former à la recherche d'information pour ses travaux, ou encore trouver pour lui n’importe quel document publié dans le monde.

Jusqu'à présent, certaines bibliothèques spécialisées de notre école ne pouvaient offrir leurs services de manière continue faute de moyens et de personnel suffisant. En regroupant les compétences au sein d’une seule équipe de professionnels nous offrons un service de qualité supérieure, sur une plus grande plage horaire.

Q : Ne risquez-vous pas, de par l’éloignement qui en découle, de perdre certains clients ?

Le service offert est plus étoffé, et reste proche géographiquement de tous les bureaux et laboratoires de l’EPFL. Pour compenser ce relatif éloignement, le RLC présente un nombre étendu de fonctions en un même lieu, attirant beaucoup plus les visiteurs et utilisateurs. Librairie, cafétéria, restaurant, salles de travail en groupe, forum Rolex sont autant de raisons qui poussent à venir au RLC, en plus de la bibliothèque bien sûr !

Q: A l’heure du numérique, une bibliothèque de livres papier a-t-elle encore un sens ?

Oui, car les gens sont encore attachés au papier, mais également parce que beaucoup de documents n’existent pas encore sous forme numérique. Nous devons donc offrir à nos utilisateurs des collections « hybrides », qui combinent des documents physiques et électroniques.

Q : La proportion d’étudiants qui utilisent les bibliothèques réelles va-t-elle en augmentant ?


Nos étudiants fréquentent de plus en plus nos bibliothèques, mais moins pour y emprunter des livres que pour y travailler seuls ou à plusieurs. Sous l’effet de la réforme de Bologne et de l’évolution vers une pédagogie par résolution de problèmes et par projets, ils recherchent un endroit où accéder à l’information papier et électronique, où occuper un espace de travail pour plusieurs heures, où il est possible de travailler en silence ou en interaction avec ses collègues.

Q : Que pouvez-vous apporter de plus que Google ou Wikipedia ?


Google et Wikipedia sont des outils aujourd'hui indispensables et utilisés par plus de 80% des universitaires, selon certaines études. Toutefois ils ne suffisent pas à satisfaire tous les besoins d’information de nos étudiants et chercheurs. La bibliothèque propose aux lecteurs une palette bien plus vaste d'outils plus pointus et plus performants, mais de plus elle forme à leur utilisation. Après un passage à la bibliothèque un lecteur sera plus autonome et plus efficace dans ses recherches sur Internet, et même dans son utilisation de Google ! Il saura aussi mieux présenter ses propres documents et citer ses sources.

Pour donner une image, on pourrait dire que Google et wikipedia sont comme un marteau et des clous, ce sont les outils les plus connus du menuisier. La bibliothèque fournit en plus perceuses et scies électriques, avec leur mode d’emploi et des cours de formation.

Finalement, chacun peut ainsi réaliser un meilleur travail.

Q : Que lisent aujourd’hui vos usagers, des livres, des revues, des appareils de lecture électronique ?

Tout cela : des journaux spécialisés, des wikis, des blogs, des livres électroniques, des romans de science-fiction, des vidéos, des images, des sons... L’écran d’ordinateur ou le e-reader (appareil de lecture de livres électroniques) ne sont qu'un premier pas vers toutes sortes de possibilités de lecture. Ce qui caractérise notre univers scientifique et culturel de ce 21ème siècle c’est la diversité des médias et des supports. Notre bibliothèque répond à tous ces besoins et propose tous les modes d’accès à l’information.

Q: Les étudiants travaillent-ils mieux dans une bibliothèque qu’à la maison ?

Chacun a ses préférences et ses habitudes. Mais l’on sait que l'ambiance de la bibliothèque est stimulante : on s’y sent moins seul qu’à la maison, et c’est important en période de stress et d’examen, et l’on y voit les autres travailler et cela nous motive. A la bibliothèque on peut également échanger et partager avec des camarades. Le confort y est aujourd’hui beaucoup plus élevé, grâce à un environnement agréable et à des prestations de restauration, des boutiques, des animations.

Q : Quel sera le rôle et le métier des bibliothécaires dans 10 ans ?

Dans 10 ans les technologies auront encore évolué, la masse d’information sera encore plus importante qu’à présent, sans compter les problèmes de conservation et de lecture des supports analogiques ou électroniques. Notre rôle sera donc, comme aujourd’hui, d’aider nos usagers à trouver l’information utile à leur recherche et à la réalisation de leurs projets. Il est donc de notre devoir d’innover en permanence pour accompagner les évolutions pédagogiques et technologiques afin de rendre nos lecteurs autonomes et efficaces dans leur recherche d’information.

 

 



 

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